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Devenir propriétaire grace au mérite !

En France, beaucoup sont les locataires qui partagent le sentiment qu’ils mériteraient d’être propriétaires. Que ce soit par leurs investissements dans l’activité professionnelle, la vie communautaire de leur quartier ou de leur village, auprès de leur famille et de leurs ami(e)s. Intègres, ces personnes payent leur loyer et leurs impôts sans sourcilier et pourtant à la fin de l’année, aucunes perspectives nouvelles. Ce projet, acheter une maison ou un appartement, est fondamental dans notre société. C’est là, dans cette sécurité particulière au foyer, que prend racine la famille, valeur première de notre civilisation. 

Transformer notre système d’accès à la propriété pour qu’il reflette le mérite est possible. 

Le bail acquisitif est un modèle contractuel valablement reconnu permettant qu’en proportion de chaque mensualités perçues, le preneur obtienne une part pré-établie de la propriété qu’il loue. À terme, si le bailleur quitte le bien, il aura l’opportunité de remettre en échange les parts acquises, soit auprès du propriétaire antérieur, soit auprès du futur locataire souhaitant devenir propriétaire. 

En intégrant ce nouveau bail dans notre registe législatif, les propriétaires actuels de plusieurs biens garderont leurs propriétés de plein droits. Seules les conditions de location seront modifiées. Dès lors, ceux qui ont travaillé dur pour obtenir légitimement un revenu de soutien ne seront pas pénalisés.

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8 commentaires

  1. Bonjour,
    Si je déroule le raisonnement en tant que bailleur. Chaque mois mon locataire acquière une partie du logement. Par conséquent, pour garantir la rentabilité de mon investissement, je dois ajouter en plus du loyer “normal” la part de propriété que je cède au locataire et qu’il pourra m’être permis de racheter le jour où ce dernier terminera le bail.
    Je crains que ce fonctionnement fasse exploser le montant des loyers ou tue le marché locatif faute de propriétaires prêts à céder gracieusement leur bien.

    • FAQ: ce système vient remplacer la location qui est elle interdite.
      non le premier propriétaire qui cède les parts de son logement chaque mois mais ne les récupère pas.
      Si les occupants décident de partir avant d’avoir fini d’acheter alors les mensualités des prochains occupants seront payés aux deux parties qui possèdent le logement au pro-rata du nombre de part que chacun possède.
      L’intérêt que les bailleurs ont, est de toucher le maximum d’intérêts et pour ça il faut baisser les mensualités pour étaler le paiement.

    • Navré d’avoir à vous contredire mais il y a un contre-sens fondamental dans l’exposé que vous faites de la situation. En effet, un logement ayant à remplir une nécessité matériel , il est indipensable d’en organiser l’accès. Définir un logement comme un investissement nous plonge mécaniquement dans une logique de rentabilité qui contraint la maximisation du retour sur cette investissement. Il apparait-là clairement que cette position conduit à des effets contaires à ceux recherchés. 1/2

    • Enfin, votre conclusion, hors les prémises impropres, est invalide sur le premier aspect et valable sur le second. Valable car il est certain qu’aucun propriétaire ne cédera gracieusement sont bien, cependant, notez que dans ma proposition il y a une contrepartie au bien via le versement régulier d’une somme d’argent contractualisé par le bail aquisitif. Invalide car ce module législatif à pour vocation de se substituer aux diverses dispositions actuelles.
      En conclusion, je m’excuse d’avoir tant tardé à vous répondre mais il me semble essentiel que cette proposition soit bien comprise.

  2. Cette proposition permettrait de simplifier l’administration française et de fluidifier les échanges internationales en cohérence gravitationelle avec les flux énergétiques comme nous l’apprend Albert Weinstein dans son célèbre ouvrage, ”Dégenerescence de l’âme française”.
    On voit d’ailleurs que vous vous êtes inspirés du livre de Frédéric Nitche
    Toutefois, avez vous bien lu son livre sur les relations entre les ondes thermonucléaires et le post-situationnisme? Avez vous pris en compte le triangle des bermudes dans vos calculs?
    Jean Bernard