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Prison ferme à la première atteinte à l’intégrité physique – Laurent Wauquiez

Dans un entretien donné au Figaro, Laurent Wauquiez, Président Les Républicains de la région Auvergne-Rhône-Alpes, déclare que “face à l’ultra-violence, il faut un choc carcéral”.

Il évoque plusieurs propositions dont la nécessité d’inscrire dans la loi des peines minimales de privation de liberté effectives dès le premier acte de violence aux personnes comme la prison ferme systématique à la première atteinte à l’intégrité physique.

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Article rédigé par Françaises Français

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3 commentaires

  1. Depuis quelques années déjà on peut constater dans les “fait divers” des meurtres par égorgement.

    Et de plus en plus qui plus est pour des futilités (un simple regard suffi) 

    Ces abominations dignes de barbares devrait être sanctionné beaucoup plus sévèrement que “perpet” incompressible.

    Je pense qu’il faut modifier la constitution pour rétablir la peine de mort pour “acte de barbarie ou/et de torture.

    Modifier la constitution pour “cour-cicuiter” la CEDH

  2. Il y a trop de laxisme en France concernant les violences contre l’Autorité et les forces de l’ordre sous prétexte du respect des droits de l’homme… Nous en payons le prix fort et une minorité impose ses lois dans les quartiers et le pays en général. Les ressortissants de pays étrangers qui participent aux manifestations et aux destructions de la France savent très bien que ailleurs et dans leurs pays d’origine ils sont punis, brimes, Violentés.En France ils se permettent tout car ils savent qu’ils ne risquent rien.Ils sont même encouragés et soutenus par les gauchistes. Il faut sévir..

  3. La justice est rendue au nom du peuple.
    Par conséquent, pour qu’il n’y ait pas trop de décalage entre la volonté du peuple et les décisions de justice, le peuple donc le législateur doit mieux encadrer l’action des juges tout en leur laissant une marge de liberté pour apprécier les circonstances et le parcours individuel du mis en cause. Une “fourchette” de peine doit être systématiquement proposée : par exemple de 3 mois à 2 ans de prison pour un refus d’obtempérer…