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Financement du nouveau nucléaire

La construction de nouveaux réacteurs EPR voir EPR2 demandant à EDF des investissements de plusieurs dizaines de milliards d’euros, pose le problème du tarif plafonné de l’ARENH du MWh.

En effet, bien que tarif juste pour les Français et le pouvoir d’achat, cette tarification est trop basse pour qu’EDF puisse investir dans son appareil productif depuis un petit peu plus d’une décennie. Ce à quoi il faudrait légiférer pour trouver une nouvelle source financière des coûts à venir.

En ce penchant sur les différentes possibilités, la seule qui puisse être retenue dans un consensus politique et de réalité économique, serait de mettre à contribution les fournisseurs d’électricité qui ne font que commercialiser cette électricité au client final.

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Article rédigé par DesprezDe

Responsable circo Brest ville I Membre bureau @RNational_29
Ex external advisor of @merrionstreet & @GOVUK
Spécialités : Energie et environnement

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Un commentaire

  1. Je pense que la priorité n’est pas la construction de nouvelles centrales qui entreront en service, au mieux, en 2035, ce qui sera plutôt 2040 pour les premières puis 2050 pour un coût exhorbitant.
    Or, il y a urgence.
    Il me semble préférable de prolonger les centrales existantes.
    Par ailleurs, il faut :
    – Faire des économies d’énergie :
    * En relocalisant au maximum la production en France
    * En isolant tous les bâtiments, administratifs, professionnels et les logements
    – Développer les énergies renouvelables afin d’être parmi les gagnants de la transition économique