Nous vivons une époque dangereuse où nos armées ne sont pas dimensionnées pour défendre nos intérêts, quels qu’ils soient et où qu’ils soient.
Pour palier à celà, elles ont besoin d’argent, de beaucoup d’argent.
Le ministère des armées est concrètement le seul ministère régalien à être productif et potentiellement bénéficiaire, si l’ont veut bien regarder deux minutes les tenants et aboutissants.
Pour 1 million d’euros investis dans la R&D, l’état peut récupérer 1,5 millions d’euros à terme d’investissement :
Les emplois créés pèsent moins sur les dépenses publiques, par le paiement de cotisations, d’impôts, la création de richesses. C’est un fait général.
Qu’ils soient donc directs, indirects ou induits, la première création de richesses passe par la création d’emplois. Ensuite, la capacité à vendre le résultat produit par la R&D. La vente de ce produit étant proposée aux armées françaises mais aussi étrangères, les fruits de ces ventes viennent grossir les recettes de l’état… ou du ministère des armées, directement… permettant ainsi d’étoffer de manière conséquente un budget militaire toujours plus gourmand, surtout dans les années à venir.
Ainsi, ce système permettra en dix ans de passer d’un budget équivalent à 2% du PIB aujourd’hui à plus de 3%… fini les questions sur un deuxième porte-avion, sur une flotte de haute mer à 20 frégates, sur une flotte aérienne à 250 avions de combats, sur une brigade ou deux supplémentaires de chars d’assaut…
Une armée de terre à 200 000 soldats est le strict minimum pour un pays comme le notre ; la fidélisation des troupes sera aussi un grand chantier à venir. Ce programme permettra de revoir notre relation Armée/Nation et l’emploi militaire.
Nous possédons le deuxième plus grand domaine maritime au monde, dont une grande partie dans le pacifique. Nous devons renforcer notre présence sur place avec la création d’une grande force pacifique, possédant une task force maritime armée autour d’un LHD Mistral et 10000 hommes.
Pour se faire, le budget des armées devra inéluctablement passer à 80M d’euros voire 100, hors compensation d’une inflation, sans que cela ne coûte plus cher au contribuable français.
J’ai d’autres propositions qui vont dans ce sens. Notre Nation vaut bien qu’on se penche sur ces sujets.
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