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Remplacer le Baccalauréat, remettre l’excellence au premier plan

Le Baccalauréat est en mort cérébrale. Débranchons-le.

Nos universités sont pleines à craquer et pourtant certains étudiants vraiment motivés ne peuvent pas aller dans l’université de leur choix.

Ainsi créons une banque de concours comme pour les écoles d’ingénieurs mais pour les universités. 

Ainsi, les universités pourront fixer le niveau qui serait souhaitable selon eux et les lycées adapter leurs cours pour atteindre ce niveau. Ensuite les collèges adapteraient leurs niveaux pour atteindre celui du lycée ect. 

Être orienté dès le collège pour se spécialiser au lycée et préparer les concours pourrait aussi être une bonne idée . Le collège aura pour mission aussi de remettre l’apprentissage du par cœur au goût du jour 

Maximilien Hebert

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Article rédigé par M H

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6 commentaires

  1. Ok sauf que je ne crois pas à la possibilité de réforme de l’éducation nationale.
    Les régions étant en charge de la formation professionnelle doivent aussi être en charge de l’éducation à partir de l’orientation et du lycée.
    L’apprentissage doit être favorisé à tous les niveaux dans toutes les formations. Un bon étudiant est un apprenti. Tous les avantages accordés aux étudiants doivent être ouverts aux apprentis.
    Le permis de conduire actuellement envisagé à 17 ans ne devrait être accessible à cet âge qu’aux apprentis car ils en ont vraiment besoin pour se rendre à leur travail.

  2. ce diplôme sert pour se présenter à des concours Le supprimer est idiot C’est le premier grade universitaire et les jurys sont présidés par des professeurs d’universités
    Parcours sup qui refuse certains bacheliers est donc illégal C’est parce qu’il n’y a pas assez de places dans les universités
    Il n’y a qu’à faire une année probatoire en fac qui permettrait d’orienter les élèves en fonction de leurs résultats On a créé les IUT pour les études courtes or le DUT est devenu sélectif et de plus les étudiants continuent en licence au lieu de rentrer dans la vie professionnelle

  3. Je suis totalement opposé à la prise en charge de l’éducation par les régions. Des inégalités induites par le niveau d’étude des parents conduisent déjà à réduire les chances de certains élèves. Si nous ajoutons celles qui peuvent apparaitre du fait que certaines régions sont plus riches ou mieux organisées que d’autres, cela n’ira pas dans le bon sens. Les diplômes doivent rester nationaux!

    • Les diplômes doivent en effet rester nationaux.
      L’orientation en fin de collège et la formation à partir de la 3ème confiées aux régions, oui j’espère bien que des régions feront mieux que d’autres en trouvant de nouvelles solutions et qu’ensuite les autres régions adopterons les solutions qui donnent de meilleurs résultats. C’est même le but.

  4. Oui, le baccalauréat doit être revu, mais si l’objectif que 80% des enfants d’une classe d’âge l’obtiennent est à maintenir, ce ne doit pas être en baissant le niveau des examens, mais en améliorant celui des élèves. Je sais que c’est plus facile à dire qu’à faire, mais si nous voulons que la France ait encore une chance de compter au niveau mondial dans les décennies qui viennent, c’est indispensable.

    • Le baccalauréat ne mérite pas d’être supprimé mais ne doit pas être maintenu tel quel.
      L’objectif de 80 % d’une classe d’âge, voilà l’incongru.
      L’égalité des talents scolaires n’existe pas
      La scolarité jusqu’à 16 ans est une erreur.
      L’apprentissage est une solution évidente, qui a toujours marché et marche toujours dans les pays à chômage quasi nul (Suisse…)
      Adapter à notre époque des solutions d’avant qu’on a voulu croire “has been” n’a rien de méprisable.
      Il est temps de déconstruire la déconstruction et le progressisme idéologique de la gauche. Ne pas s’en laisser intim