La France est connue depuis des siècles pour sa culture, sa langue, sa puissance économique et ses talents industriels.
Mais aujourd’hui et depuis plus de 10ans nous assistons à une perte de substance complète au niveau de nos valeurs fondamentales de société, de culture, de connaissance. Même l’enseignement privé fournit à peine à la société une jeunesse qui connait l’histoire de France, et la nouvelle génération de professionnels s’exprime dans les médias et dans la presse dans un langue française bousculée et cosmopolite. Est-ce normal que les pays africains ou du moyen orient francophones et francophiles connaissent mieux nos auteurs et notre histoire que nous? Nous avons des musées emblématiques français à l’étranger (Louvre à Abu Dhabi) mais nos jeunes français se voient proposer un programme scolaire qui fait honte à notre pays sur le plan européen.
Ce qui fait l’unité d’un pays, ce sont sa culture et sa langue. La présidence actuelle et la précédente ont pris les jeunes français pour des cobayes et ont produit un échec cuisant, sacrifiant des promotions complètes qui errent désormais dans l’enseignement supérieur pour tenter de rattraper cet échec financé par les impôts de nos concitoyens. Les jeunes à qui on de donne pas les clefs pour comprendre le monde et savoir vivre dans celui-ci seront embrigadés par tous les biens-pensants d’autres partis politiques qui leur paraitront plus crédibles. Vous les retrouverez ensuite dans la rue ou en train de voter pour des leaders dangereux pour notre société, populistes ou anarchistes. Si de nouvelles cultures s’inscrivent dans notre pays, c’est peut-être qu’on ne défend pas la nôtre et qu’elle ne rayonne plus. Cela commence à l’école.
Il faut que la politique redevienne crédible, et défendre la culture, la langue, l’ecole, les programmes scolaires qui fonctionnaient depuis des années, retirer ce qui ne fonctionnait effectivement pas. Les jeunes n’ont pas besoin d’uniformes mais de savoir! Sans doute que le nivellement par le bas du baccalauréat nourri par des enjeux de financement de l’enseignement supérieur devra aussi être repensé. Mais l’avenir de la culture française en dépend. Les jeunes adultes font la société d’aujourd’hui et elle se montre de plus en plus instable. Il faut sauver la culture française et ses valeurs !
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Je suis d’accord sauf que dire que le problème remonte à 10 ans me semble faux.
Pour moi la baisse continuelle de niveau remonte au jour ou un Ministre, je pence que c’était Lionel JOSPIN à dit qu’il fallait 80% de bacheliers par génération, donc il y a plus de 30 ans.
Depuis on a cessé de baisser le niveau pour obtenir ce chiffre de bacheliers.
Si encore on avait encouragé beaucoup plus de bac pro et techniques dont nous manquons tant en recrutement !
Je suis d’accord sur l’essentiel, mais pourquoi pas d’uniforme? Cela ne signifie pas uniformité des esprits, bien au contraire.
Je suis d’accord avec vous 👍.
Mais je reste tout de même pour le port d’un uniforme dans les établissements scolaires ( çela peut que renforcer ce côté unité et par la même occasion en finir avec les tenues religieuses ou communautaire et les éventuelles discriminations sur le budget que peut mettre une famille dans des vêtements, et puis un tout petit peu de discipline surtout en se moment peut être que bénéfique…).
Très bien vu, “dreamcastel” ! Mais l’uniforme n’empêchera pas le voile…
la question de l’uniforme est vraiment secondaire, selon moi. Le ministère est totalement “noyauté” par les promoteurs de la woke culture, de la théorie du genre, et les destructeurs de notre culture, de notre histoire, de notre passé, de nos coutumes, de nos traditions, … de tout ce qui fait la France.
Quel programme, quel plan d’action pour les mettre hors d’état de nuire ??? Rien ne pourra changer tant qu’ils seront là !
Quel programme, quel plan d’action pour que les parents d’élèves de droite soient actifs, majoritaires pour peser au niveau local ?
La proximité me semble esse
Le vrai point de départ est la loi de 1989 (“l’élève au centre du système”), qui a, de fait, rendue illégale la transmission des savoirs et de la culture. “L’élève au centre” signifie que tout doit venir de l’élève lui-même, qu’il doit “construire” son propre savoir, si possible en groupe, en papotant avec les copains (ce que les pédagogistes appellent le “socio-constructivisme”). François-Xavier Bellamy explique tout de façon magistrale dans “les Déshérités”.
Avant Bellamy, hélas, personne à droite n’a compris l’importance vitale de cet enjeu. Nous avons gâché 30 ans.