Je suggère de plafonner à 2.8% du PIB (moyenne européenne) les recettes des impôts de production afin de faciliter la réindustrialisation de notre douce France.En effet, la seule chose qui permet de réindustrialiser c’est d’augmenter la marge de nos industriels en leur donnant de la compétitivité. Ainsi, la production sera stimulée.
Cette proposition va également permettre d’accroitre le pouvoir d’achat puisque la consommation ne peut pas excéder la production durablement.
Mais également de résoudre les problématiques d’emploi (il manque toujours 11 points de taux d’emploi à la France pour égaliser l’Allemagne et la Suisse) notamment causé par le manque de formation puisqu’il s’agit d’emploi faiblement qualifié.
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Cela peut permettre de hausser les salaires, baisser les couts des entreprises, donc baisser les prix et donc augmenter la production. Je suis, pour ce qui augmente la production, en économie. Production veut dire, emploie etc…. S’est un cercle vertueux.
Si nous voulons être attractifs et réindustrialiser, il faut allez plus loin. Ils représentent 0,7% du PIB en Allemagne et en Suisse, 0,4% aux pays-bas (chiffres : Institut Montaigne).
Je partage cet objectif. Cependant, il faut résoudre nos problèmes budgétaires préalablement à cette baisse majeurs des impôts de productions. Le déficit à 3% n’est pas soutenable pour des pays sur-endettés comme la France, l’Italie, la Grèce… qui doive plutôt tendre vers les excédents budgétaires. Et avec cette baisse de 3% PIB au lieu de 0.6% cela risque de dégrader notre budget déjà très fragile.
Plafonner d’abord. Supprimer ensuite !
Il faut éliminer tout ce qui renchérit stupidement le travail.
D’autres prélèvements sont moins nocifs.